Le centre de maintenance de Montigny-les-Metz, totem du renouveau du ferroviaire transfrontalier
Le point d’étape présenté fin janvier à Metz par Yuriko Backes, ministre de la Mobilité et des travaux publics du Luxembourg et Franck Leroy, président de la région Grand Est, a décrit les très lentes avancées de la mobilité transfrontalière. Le centre de maintenance des TER transfrontaliers en cours de construction à Montigny-les-Metz, en périphérie de Metz, constitue néanmoins une concrétisation visible d’un protocole d’accord conclu en 2018 pour un montant de 460 millions d’euros.
En matière de mobilité transfrontalière, les points d’étape se suivent et se ressemblent. La rencontre organisée le 29 janvier dernier entre Yuriko Backes, ministre de la Mobilité et des Travaux publics du Grand-Duché, Laurent Touvet, préfet de la Moselle, et Franck Leroy, président du Grand Est, a fortement rappelé celle qui, en été 2023, promettait déjà plus de fluidité aux travailleurs frontaliers empruntant le TER entre le Sillon lorrain et le Luxembourg. Le protocole franco-luxembourgeois de 2018, qui allouait 460 millions d’euros à la mobilité transfrontalière, suit son cours sans que les premiers concernés n’en perçoivent véritablement les avancées.
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© André Faber.