ChirEx permet-il de mieux soigner aux frontières ?
Sans doute. Bien que contré par la crise sanitaire, ce projet Interreg a démontré la pertinence d’une formation transfrontalière complémentaire en chirurgie, médecine d'urgence et cancérologie-radiothérapie.
Monté ex-nihilo par les facultés de médecine de Nancy (Meurthe-et-Moselle), de Hombourg (Sarre) et de Liège, en partenariat avec le centre François Baclesse, spécialiste luxembourgeois de la radiothérapie et de l’oncologie, le projet ChirEx met les bouchées doubles pour rattraper le retard causé par la pandémie de Covid sur son ambitieux programme de formation. Seules une trentaine des 60 sessions pédagogiques initialement prévues ont pu se dérouler, toujours en présentiel et toutes basées sur la simulation. La prolongation, jusqu’à la fin de l’année, de ce projet Interreg d’un montant de 4,5 millions d’euros débuté en juin 2018, doit permettre d’accélérer le rythme des ateliers. Encadrés par 50 enseignants-chercheurs et praticiens hospitaliers, plus de 500 personnels soignant des trois pays ont déjà découvert les usages de leurs voisins en matière de chirurgie, de médecine d’urgence et de radiothérapie.
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