Etre frontalier rend-il malade ?
Au vu de l'inventaire statistique réalisé dans le cadre du projet Interreg Coprosepat, on pourrait le penser. Les habitants des zones frontalières de Belgique et de France présentent un taux de pathologies chroniques et mortelles nettement supérieur aux moyennes nationales. Les causes ne sont pas imputables aux frontières, mais à la pauvreté.
Dédié à une meilleure prise en charge des maladies chroniques au long de la frontière franco-belge, le projet Interreg France-Wallonie-Viaanderen Coprosepat s'est attelé à un édifiant comparatif épidémologique et sociodémographqie. Ses principaux porteurs, l'Observatoire régional de la santé du Grand Est et l'Observatoire de la santé de la province belge du Luxembourg, ont constaté un taux de mortalité particulièrement élevé sur les deux versants du territoire frontalier.
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Seule la partie du département appartenant au territoire du projet Coprosepat est prise en compte. © Interreg