« Côté français, nous restons sur notre faim en matière de coopération transfrontalière »
Patrick Weiten, président du conseil départemental de la Moselle
Président du conseil départemental de la Moselle depuis 2011, acteur engagé de la coopération transfrontalière et référent « Sports et Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 », Patrick Weiten revient sur le fonctionnement parfois laborieux des institutions transfrontalières.
Le comité de coopération transfrontalière (CCT) instauré par le traité d’Aix-la Chapelle pour faciliter les coopérations franco-allemandes dans les zones frontalières va fêter ses cinq ans. Cet outil vous a-t-il été utile ?
L’idée de renforcer la relation franco-allemande était intéressante. Cet organisme, qui organise la coopération entre la Sarre, la Rhénanie-Palatinat, et le Bade-Wurtemberg côté allemand et l’Alsace et la Moselle côté français aurait pu constituer le pendant de la Conférence intergouvernementale (CIG) franco-luxembourgeoise dont je suis membre depuis son origine. Le CCT aurait pu apporter des solutions aux irritants du quotidien. Malheureusement, je cherche encore ce que l’on a réussi à fait grâce à son aide.
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Patrick Weiten, président du conseil départemental de la Moselle. DR