« Le jumelage, c’est l’Europe dans les territoires »
Benjamin Kurc, responsable du Fonds citoyen franco-allemand
Ce 22 janvier 2024, le traité d’Aix-la-Chapelle a soufflé ses cinq bougies. Freiné par la pandémie, la principale réussite du traité est le Fonds citoyen franco-allemand, lancé en 2020, qui déjà subventionné 2.000 projets franco-allemands. Benjamin Kurc, responsable du Fonds citoyen, revient sur les cinq ans du traité et dresse le bilan du Fonds depuis son lancement.
Quels sont les acquis du traité d’Aix ?
Le traité d’Aix-la-Chapelle visait à relancer un dynamisme dans les relations franco-allemandes, certes très solides mais dont l’impulsion originelle date de 1963. Depuis, il y a de nouvelles réalités, notamment dans la construction européenne. Le traité d’Aix-la-Chapelle va plus loin que le traité de l’Élysée et s’adresse à l’entièreté de la société civile. Il permet aux citoyens de s’engager dans cette coopération sur des thèmes qui ont une résonance dans nos sociétés respectives, que ce soit au niveau de la culture, de l’environnement, de la défense de la démocratie, des liens intergénérationnels. Le Fonds a commencé son travail en avril 2020. C’est donc assez court pour mettre en place des processus institutionnels. Même si la pandémie nous a beaucoup freiné, nous sommes heureux du travail accompli.
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Benjamin Kurc, responsable du Fonds citoyen franco-allemand. © DR.