Le Comité de coopération transfrontalière encore en quête de maturité
L’organisme franco-allemand a adopté des recommandations et évoqué la prise en compte du fait transfrontalier dans l’élaboration des lois, lors de sa dernière session. Le bilan des quatre premières années d’activité a donné lieu à un débat sur son rôle et ses moyens.
Dans la famille des institutions transfrontalières, le petit dernier cherche encore sa place. Enfant du traité d’Aix-la-Chapelle, le Comité de coopération transfrontalière (CCT) tente depuis 2020 de contribuer au renforcement de « la coopération et l’intégration franco-allemandes »(1). Des États jusqu’aux Eurodisctricts, les pouvoirs politiques et législatifs s’y concertent pour apaiser les « irritants du quotidien » rencontrés par les habitants des espaces frontaliers. La jeune structure ne dispose cependant d’aucun pouvoir effectif. Lors de la session du 16 avril à Strasbourg, l’actualité et le bilan des quatre premières années d’activité du comité ont nourri les discussions sur ses perspectives.
- Déjà abonné ?
- Se connecter
*Champs obligatoire
» J'ai oublie mon mot de passe ?
» Vous n'avez pas d'identifiant ?
- Accédez à tous les contenus du site en illimité.
- Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première
© CCT