Le Comité de coopération transfrontalière cherche sa place entre Paris et Berlin
Réuni ce lundi 12 juin à Landau, le Comité de coopération transfrontalière a redéfini ses priorités. Issue du traité d’Aix-la-Chapelle signé en 2019, la jeune structure reste tributaire des décisions étatiques françaises et allemandes.
Réuni ce lundi 12 juin à Landau (Rhénanie-Palatinat), sous la présidence de Josiane Chevalier, préfète de la région Grand Est, le Comité de coopération transfrontalière (CCT) franco-allemand a eu les honneurs de Dr. Dominik Geißle, maire de Landau, et de la secrétaire d’État aux Affaires européennes de Rhénanie-Palatinat, Heike Raab. La jeune structure, créée en 2019 pour compléter le Traité de l’Elysée, a changé son organisation. Elle décline désormais son programme en cinq priorités: économie et emploi, énergie et environnement, transports et aménagement du territoire, enseignement et culture ainsi que protection sociale et services publics.
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