Grande Région

Dans la Grande Région, le nucléaire court-circuite les frontières

Près de 140 citoyens se sont rassemblés le mardi 14 mai à la centrale de Cattenom, afin de discuter du quatrième réexamen de sûreté et des défis liés à la corrosion. Des Luxembourgeois et Allemands y ont exprimé leur opposition à l’atome. Pourtant, leurs pays continuent d’acheter de l’électricité nucléaire dans une Europe interconnectée.

André Faber
© André Faber.

Le mardi 14 mai, la Commission locale d'information de la centrale nucléaire de Cattenom a rassemblé près de 140 citoyens dans la salle du Casino pour débattre sur le quatrième réexamen réexamen de sûreté, qui concerne un total de vingt réacteurs sur huit sites distincts en France. Depuis 2022, des réacteurs sont à l’arrêt à Cattenom et Chooz depuis la découverte de fissures de quelques millimètres sur les circuits d’injecteur, causées par la corrosion. Dans ce contexte délicat, l’exploitant EDF et l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ont présenté les objectifs de sécurité et défis spécifiques à Cattenom, avant d’échanger avec le public.

La suite est réservée aux abonnés.
  • Déjà abonné ?
  • Se connecter
Indiquer votre adresse email utilisé lors la création de votre compte utilisateur
Indiquer votre mot de passe utilisé lors de la création de votre compte (8 caractères dont majuscule et chiffre)
  • Accédez à tous les contenus du site en illimité.
  • Les newsletters exclusives, éditos et chroniques en avant-première

Aucun abonnement actif avec votre compte
Commandez un abonnement pour lire la suite

Attention

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés à vos centres d'intérêts.